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Comment booster la visibilité de votre site sur ChatGPT Search : méthodes, outils et opportunités pour (vraiment) générer du trafic IA

2023. Personne ne parlait d’AI search, ou si peu. Douze mois plus tard, impossible de ne pas en entendre...

Comment booster la visibilité de votre site sur ChatGPT Search : méthodes, outils et opportunités pour (vraiment) générer du trafic IA 1

2023. Personne ne parlait d’AI search, ou si peu. Douze mois plus tard, impossible de ne pas en entendre parler : des responsables marketing aux DSI, tout le monde s’interroge sur la meilleure façon de capter le trafic filtré par les algorithmes conversationnels.

Je me suis récemment retrouvé à expliquer à un dirigeant pourquoi son site, pourtant à la pointe côté Google, pouvait rester totalement invisible dans les résultats de ChatGPT Search.

Changement d’époque. L’intelligence artificielle ne se contente plus d’alimenter la discussion ; elle façonne déjà les nouveaux leviers de visibilité. Générer du trafic depuis ChatGPT (et ses cousins comme Perplexity), ce n’est plus une curiosité pour les early adopters : c’est une nouvelle frontière SEO, qui impose méthode, technique et prise de hauteur.

Prêt à découvrir comment positionner votre marque dans ces flux naissants, à capter ce trafic en pleine explosion, et à comprendre (pour de vrai) ce qui fait la différence ? Voici le guide stratégique et actionnable que j’aurais aimé lire il y a quelques mois.

ChatGPT Search : la nouvelle vague silencieuse du trafic organique (et pourquoi il faut s’y intéresser)

Qui aurait parié qu’un moteur conversationnel comme ChatGPT deviendrait, en moins d’un an, source de trafic qualifié pour de nombreux sites ? Pourtant, les chiffres sont là. Selon les dernières études, l’activation du mode search sur ChatGPT a permis à la plateforme de générer une hausse de 44% du trafic référent chaque mois, dépassant désormais Perplexity sur les requêtes « recherche Web ».

On reste loin, bien entendu, des 78% de part de marché de Google (chiffres 2025), mais l’enjeu n’est plus anecdotique. Sur certains secteurs d’activité — média, e-commerce, job boards, SaaS — des acteurs voient débarquer des milliers de visites issues du fameux chat.openai.com, lien après lien, citation après citation.

Pourquoi c’est crucial ?

  • ChatGPT Search bouleverse la logique classique du SEO : vos contenus peuvent être « invités » dans des réponses, même hors de Google, si et seulement si vous (re)répondez à certains critères techniques et éditoriaux spécifiques.
  • L’AI Search permet de capter une audience nouvelle, plus engagée et souvent plus qualifiée, car l’utilisateur clique après avoir reçu un « résumé personnalisé et sourcé » par le LLM.
  • La montée en puissance de Bing (+12% de part de marché mondial, soit un triplement en dix ans), propulsé par son deal stratégique avec OpenAI, redistribue les cartes pour ceux qui ne juraient que par Mountain View.

Mon intuition : nous sommes à l’aube d’un basculement comparable au passage desktop-mobile des années 2010 — ceux qui prendront la vague « AI traffic » en premier feront la course en tête dans les prochains mois.

ChatGPT Search

Comment fonctionne ChatGPT Search : décodage d’un moteur pas comme les autres

Derrière son interface épurée et son air amical, ChatGPT Search cache une mécanique très différente des moteurs traditionnels. Comprendre son fonctionnement réel conditionne toute stratégie de visibilité.

Un moteur activé… parfois en « coulisse »

Le mode search de ChatGPT ne s’active pas automatiquement à chaque question. À la différence d’une requête Google, où chaque recherche génère immédiatement une SERP classique, ici, deux options :

  • Soit l’utilisateur clique volontairement sur « activer la recherche »,
  • Soit l’algorithme décide d’activer search s’il « sent » que la demande requiert une donnée fraîche, une source officielle, ou une référence externe.

Exemples concrets :

  • Quel temps fait-il à Lyon aujourd’hui ? => Recherche web – avec sources citées.
  • Quels sont les avis récents sur l’iPhone 15 ? => Recherche web – avec liens directs vers médias.

Dès lors, la page de réponse de ChatGPT devient un point d’entrée comme un autre vers votre site, à intervalle très variable et dépendant du contexte conversationnel.

Du prompt au clic : la boucle d’exposition, étape par étape

Voici la chaîne qui détermine si OUI ou NON, votre site sera visible (et cliquable !) dans ChatGPT Search :

  1. L’utilisateur saisit un prompt ou une question : « Quel est le meilleur CRM en 2024 ? »
  2. ChatGPT transforme la demande en une ou plusieurs requêtes de recherche, généralement transmises à Bing via une API partenaire.
  3. Bing retourne un pack de résultats (titres, snippets, URLs).
  4. ChatGPT “appelle” certaines de ces URLs via ses bots propriétaires pour lire/extraire le contenu, et produire une réponse personnalisée.
  5. Les liens sélectionnés sont cités sous forme de citations principales (footnotes), de “sources complémentaires”, parfois sous forme de carousel.
  6. L’utilisateur peut cliquer sur ces liens et visiter votre site (pour autant qu’il n’y ait pas de barrière technique ou d’accessibilité).
  7. Statistiquement, le fait d’apparaître en citation principale booste nettement la probabilité de clic.

Bing, mais pas que : la question des partenaires et “fallbacks”

À l’heure actuelle, Bing est la source principale des résultats exploités par ChatGPT Search. Mais le système se complexifie :

  • Pour certaines thématiques (stock, shopping, local), OpenAI commence à utiliser des partenaires spécialisés (Shopify, Reuters, Google Maps…).
  • Il existe des fallbacks : si Bing retourne peu ou pas de résultats sur un sujet, d’autres index peuvent être sollicités (Google, annuaires verticaux…).
  • Enfin, la personnalisation joue un rôle croissant : vos « habitudes » sur ChatGPT peuvent influencer les sources proposées.

À retenir : nul ne peut garantir de contrôler 100% des conditions d’affichage, mais une partie du « jeu » se passe en amont… sur Bing.

ChatGPT Search

Les nouveaux fondamentaux SEO pour ChatGPT Search : indexation, accessibilité, pertinence

On l’a compris, le SEO « AI search » n’est pas tout à fait le même que le SEO Google classique… mais il existe des ponts. Structurons les trois piliers incontournables pour être visible :

1. Être indexé dans Bing : la clé d’entrée obligée

  • Le premier filtre, c’est Bing. Si votre page n’est pas indexée dans Bing, elle n’a (quasiment) aucune chance d’être citée par ChatGPT Search.
  • Bonne nouvelle : l’inscription à Bing Webmaster Tools devient aussi simple qu’un import depuis Search Console.
  • Soumettre son sitemap sur Bing, mettre en place l’API IndexNow (surtout pour des CMS type WordPress, Shopify…), voilà un « quick win » souvent sous-exploité.
  • Attention, Bing n’indexe pas toujours tout ce que Google indexe : vérifiez régulièrement la couverture réelle de vos pages.

Conseil d’expert : Pour voir quelles pages performent dans ChatGPT Search, croisez les logs des bots OpenAI avec vos données Bing – parfois, des surprises émergent sur des pages secondaires jamais travaillées pour Google.

2. Accessibilité technique : le retour au HTML “pur” (fin de l’âge d’or du JavaScript ?)

  • Les bots de ChatGPT Search ne rendent pas JavaScript. Ils se concentrent sur le HTML brut — à l’ancienne.
  • Si votre navigation, vos contenus stratégiques ou vos CTA sont générés via du JS non dégradé : oubliez l’IA Search. Ce que le bot ne “voit” pas en source n’existera pas pour lui (même si Google, lui, arrive à crawler vos scripts).
  • Vérifiez via vos outils favoris (Screaming Frog en mode sans JS, inspection du code source) que vos pages clés sont accessibles en HTML.

Astuce : mettez au défi votre équipe web : « est-ce que tout ce que je vois dans ma page d’accueil s’affiche dans son code source, sans JS ? » Si ce n’est pas le cas… il y a du travail.

3. Les bots OpenAI : comprendre qui fait quoi (et pourquoi ça compte)

  • Trois bots, trois usages :
    • GPTBot : le plus gourmand, utilisé pour l’entrainement du modèle. Peut (et doit souvent) être bloqué pour limiter la charge serveur et la copie massive.
    • OpenAI Search Bot : utilisé pour pré-sélectionner et améliorer le matching entre Bing et ChatGPT (synchro asynchrone, en amont).
    • ChatGPT User Bot : c’est LUI qui vient récupérer votre contenu en temps réel et le servir dans la réponse à l’utilisateur.
  • Bon à savoir : Vous pouvez être visible sur ChatGPT Search même en bloquant GPTBot (utile si vous refusez l’intégration dans le modèle général OpenAI, comme certains médias).

4. Robots.txt, meta-robots, LLM.txt : faut-il adapter ses règles ?

  • Les bots OpenAI respectent les fichiers robots.txt (à condition qu’ils soient bien configurés, et que vos pages soient servies rapidement).
  • Les fichiers LLM.txt (proposés par certains acteurs IA) ne sont pas (encore) pris en compte par ChatGPT Search : inutile de perdre du temps dessus pour l’instant.
  • Ne pas oublier d’ouvrir sitemap.xml aux bots OpenAI.

Auditer et mesurer (pour de vrai) votre visibilité dans ChatGPT Search : le guide terrain

Une des frustrations majeures des spécialistes marketing : il n’existe PAS de Search Console ni d’outil officiel pour savoir ce que ChatGPT a vu, indexé, ou cité. Même les meilleurs outils SEO sont (pour l’instant) aveugles sur l’indexation OpenAI.

La solution ? L’analyse des logs serveurs. Oui, c’est moins glamour qu’un dashboard en SaaS, mais c’est la voie royale pour comprendre les interactions réelles des bots AI sur vos pages.

Pourquoi les outils classiques n’y suffisent pas ?

  • Vous ne disposez ni de la liste des prompts générés par les internautes, ni du volume d’impressions, ni de la position « SERP » (qui n’existe plus dans le modèle ChatGPT Search).
  • Les traces disponibles dans Analytics (visites référentes en provenance de chat.openai.com) sont souvent partielles ou mal étiquetées.

Analysez vos logs pour révéler la vérité des bots

Concrètement, que surveiller ?

  • Les passages des bots OpenAI Search Bot et ChatGPT User Bot. Le premier révèle l’indexation, le second la présence de votre contenu lors d’une réponse concrète à un utilisateur.
  • Les URLs concernées, le statut HTTP renvoyé (200, 404, 500, 301…), la fréquence de passage, l’heure précise.
  • Les référents (referrer) : la présence de chat.openai.com comme source est un indicateur de clic effectif.

Pour extraire ces informations :

  • Utilisez les capacités avancées de vos outils de log management, filtrez sur les user agents et les IPs listés par OpenAI.
  • Visez l’analyse croisée : pages les plus « sollicitées », mais aussi pages « oubliées », types de contenus générant des erreurs techniques.

Interpréter vos crawls : ce que révèlent les traces OpenAI

  • Un pic de passages sur des pages 404, redirections ou erreurs 500 signale des opportunités immédiates à corriger.
  • Certaines pages jusque-là négligées par vos efforts SEO classiques se révèlent stratégiques pour l’IA – souvent, ce sont des contenus de fond, des pages comparatives, des ressources FAQ…
  • Analysez la multiplication des passages sur une même page : les bots « validant » une actualisation récente (date de mise à jour, indicateur de fraîcheur dans le HTML).

À tester :

  • Cartographier vos URLs par typologie, fréquence, statut. Repérez les « hotspots » (hits IA > hits Googlebot), élaborez des priorités d’optimisation.
ChatGPT Search GEO llm

Comprendre les règles est un bon début. Les appliquer avec méthode sera, comme toujours, le seul moyen d’obtenir des résultats mesurables — et durables.

1. Priorisez votre indexation Bing sans attendre

  • Si vous partez de zéro : créez (ou vérifiez) votre compte Bing Webmaster Tools, importez votre propriété Search Console, soumettez votre sitemap.
  • Mettez en place l’API IndexNow : indispensable pour accélérer la prise en compte de vos nouveaux contenus. L’intégration est native sur WordPress, Shopify, Wix… (10 000 URLs notifiables/jour, sans surcoût).
  • Pour les sites à haut taux de publication (media, e-commerce à la minute) : créez un script custom qui « ping » Bing à chaque ajout de page.

2. Garantissez l’accessibilité de vos contenus clé

  • Rappelez à vos équipes : 100% des éléments stratégiques (copy, CTA, conseils, prix…) doivent exister en HTML. Les bots OpenAI n’analysent pas le DOM rendu ni les « state » JS.
  • Testez vos pages avec vos crawlers sans rendering JS, comparez avec l’inspection GSC.
  • Pour chaque correction : vérifiez dans les logs que le bot cible (ChatGPT User) repasse sur la page.

3. Redirigez, reliez… et éliminez les points morts

  • Maintenez à jour vos redirections 301 pour toutes les erreurs repérées dans les traces des bots OpenAI.
  • Identifiez les 404 et, le cas échéant, recréez des pages « pivot » stratégiques ou redirigez vers les ressources les plus proches sémantiquement.
  • Optimisez votre maillage interne en fonction des pages fréquemment appelées par ChatGPT : générez plus de liens vers vos pages « visibles IA », pour accélérer leur redécouverte.

4. Boostez la pertinence perçue par l’IA (le facteur « game-changer »)

  • Étudiez la construction des réponses dans ChatGPT Search : les citations principales et sources footnotes sont le sésame de la visibilité.
  • Pour chaque requête cible, repérez les URLs régulièrement citées : analysez le contenu extrait (structure, fraîcheur, typologie sémantique, granularité des informations…).
  • Travaillez vos pages pour cocher ces cases : titres clairs, paragraphes factuels et sourcés, actualisation régulière, présence de schémas de données (structured data adaptés au secteur).
  • Reverse engineering : via les outils ou scripts d’extraction du JSON ChatGPT (voir étude), listez les pages « retenues » vs « ignorées » par l’IA, identifiez les gaps à combler.

Conseil avancé : enrichissez vos pages sur les critères valorisés dans les réponses (ex : certifications produit, avis clients, compatibilité, association marque/sujet clé…). Demandez à ChatGPT « quels critères prends-tu en compte pour recommander X ? », puis vérifiez la couverture dans votre copy.

5. Faut-il créer du contenu “AI-friendly” ?

Le débat agite la communauté SEO : doit-on produire un contenu spécifiquement conçu pour les AI, différemment des humains ? Ma réponse de praticien : privilégiez toujours l’utilité utilisateur, mais structurez votre copy en blocs facilement extractibles, riches en vrais signaux de confiance (faits, chiffres, sources, actualisation).

Bonus : testez l’effet de landing pages « focalisées LLM » — courtes, précises, fortement sourcées — et comparez leur taux de citation dans ChatGPT Search.

Chatgpt search

En l’absence d’une Search Console AI officielle, il faut ruser et croiser les méthodes.

1. Solutions de logs : la granularité sans filtre

  • On l’a vu, le log analysis est la méthode la plus fiable aujourd’hui pour tracker les passages bots OpenAI et les clics référents ChatGPT.com.
  • Avantage : vision exhaustive, possibilité de croiser les visites par typologie de pages, langue, région, timestamp précis.
  • Limite : nécessite une bonne maîtrise technique, une coordination avec les équipes infra/dev.

2. Outils émergents de tracking spécial IA

  • Des outils dédiés apparaissent chaque mois (PEEK AI, DJ, Everune, Plexity…) pour mesurer présence et citations dans ChatGPT/Perplexity. Leur mode de fonctionnement :
    • Simulation de requêtes répétées, scraping des « sources » et « citations »
    • Analyse des URLs, scoring présence, possibilité de suivre des « prompts cibles »
    • Parfois, extraction automatique des listes de domaines à surveiller (potentiel PR)
  • Limites actuelles :
    • Résultats parfois imprécis selon la fréquence de scrape et la personnalisation
    • Ne fait pas remonter le véritable volume de requêtes « naturelles » des utilisateurs (biaisé par l’automatisation).
  • Bonne pratique : combinez log analysis (pour la vision réelle) et outils externes (pour la veille concurrentielle et le repérage de nouveaux tiers « adoptés » par l’IA).

3. Utiliser les listes d’URL comme roadmaps d’actions

  • Recensez les sources « incontournables » pour votre secteur : domaines souvent cités, blogs, pages produits…
  • Classez-les en trois niveaux : propriétés que vous contrôlez (site, réseaux, pages app store…), influenceurs/éditeurs ouverts à la collaboration (PR, affiliation), concurrents « verrous ».
  • À intégrer dans vos chantiers linkbuilding et community management, à rebours de la logique « liens pour Google ».

4. Misez sur des KPIs internes adaptés

  • Fréquence de hits OpenAI bots par page
  • Ratio hits IA / hits Googlebot
  • Nombre de pages citées vs nombre de pages ignorées
  • Analyse des visites référentes ChatGPT.com + conversions liées

Industrialisez votre monitoring : segmentation, dashboards sur-mesure et benchmarks

Oubliez la vision brute. Pour piloter votre avancée, structurez vos analyses selon des axes adaptés à votre marché et vos contenus.

  • Par typologie : articles, fiches produits, FAQ, blog, landing pages
  • Par langue/région : constatez l’effet « biais » US/UK vs FR/DE (les résultats diffèrent beaucoup)
  • Par statut de pages : nouvelles, mises à jour, stale
  • Par niveau de citation : principale, complémentaire, « source » simple

Exemple de dashboard clé (que j’utilise aujourd’hui en interne) :

PageTypeDate majDernier passage ChatGPT UserCitation (O/N)Trafic référentRatio IA/Googlebot
/article/seo-basisArticle15/06/202418/06 15h22Oui2151,8

Automatisez le reporting hebdo, fixez des « watchlists » sur les pages stratégiques.

Ce que l’on sait, ce qu’on ignore, ce qui va (encore) bouger

Soyons clairs : nous naviguons dans un environnement mouvant, où chaque mois apporte de nouvelles règles du jeu.

  • Incertitudes majeures :
    • Les requêtes réelles des utilisateurs restent invisibles (pas de search volume AI, encore moins de split intent).
    • La logique de sélection Bing > ChatGPT peut être modifiée du jour au lendemain, tout comme les partenaires intégrés.
    • La personnalisation (user logged-in, historique, préférence source) brouille les benchmarks « absolus ».
  • Les fondamentaux demeurent :
    • La pertinence éditoriale, la fraîcheur du contenu et l’accessibilité technique resteront toujours le socle… quel que soit l’algorithme.
    • Rien ne dit que Google ne bougera pas rapidement ses propres modèles pour rapprocher Search et AI – anticipez, mais ne doublez pas tous vos process.

Un point commun structurel entre Bing, Google, ChatGPT Search ? Ce sont les early adopters qui raflent la mise les premiers mois. Adaptez vite votre culture « test & learn ».

L’IA search : une nouvelle frontière pour reprendre l’avantage

Je l’avoue : je n’avais pas anticipé que le SEO redeviendrait aussi « technique » avec ce glissement vers l’indexation ChatGPT Search. Mais, au fond, c’est une chance.

L’AI search ramène de l’agilité, de l’expérimentation, de la place pour les manager/marketeurs vraiment stratèges. Pas besoin d’être une multinationale pour progresser, voire dépasser des géants plus lents à adapter leur chaîne de valeur.

Je vois ChatGPT Search comme la meilleure occasion, en 2025, de :

  • Renouer avec l’excellence opérationnelle (audit, logs, segmentation)
  • Valoriser son contenu utile et sincère (ce que Google appelle EEAT… est vérifié par l’IA)
  • Tenter, apprendre, et progresser « au fil de l’eau » — avant que la norme ne soit fixée

Mon pari : dans douze mois, la différence entre les entreprises qui s’adaptent, et les autres, sera déjà visible sur leur trafic… et leur image de marque.

Linkedin Stéphane Torregrosa

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Ecrit par Stéphane Torregrosa
Stéphane Torregrosa transforme les idées en moteurs de croissance. Consultant en stratégie digitale, formateur, blogueur et conférencier, il aide les organisations à renforcer leur visibilité, à structurer leurs prises de parole et à automatiser intelligemment leurs processus. Spécialisé en Inbound Marketing et en IA appliquée, il combine l’efficacité des données avec la puissance d’un storytelling sincère. Autodidacte, passionné par la création de contenu et les outils numériques, il conçoit des solutions sur-mesure pour gagner en impact et en cohérence. Il explore aussi d’autres formes d’expression : sous le nom de Stéphan Paul, il écrit et compose des chansons qui racontent l’humain, ses doutes et ses élans. Ce goût du sens et de la transmission traverse tous ses projets, qu’ils soient professionnels ou artistiques. Profile

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